Gare Routière Ouest De Constantine
L’étude de réhabilitation non encore lancée
le 25.07.16 | 10h00
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Annoncé il y a près de deux ans, le projet de réhabilitation de la gare routière ouest de la cité Boussouf est en voie de connaître le même sort que celui de la gare routière est Sahraoui Tahar, livrée il y a quelques jours après des travaux qui ont battu les records de retard.
Selon une source bien au fait de ce dossier, le projet de
réhabilitation de la gare routière ouest est loin d’être ficelé. Pour
preuve, l’étude n’a pas encore été lancée, selon la même source, qui
estime que les travaux ne seront pas entamés avant deux mois au minimum,
ceci dans le meilleur des cas. C’est-à-dire qu’il n’y aura pas de
contraintes qui pourront retarder les procédures administratives. Notre
source n’a pas manqué d’exprimer son pessimisme envers la manière de
procéder des services de la commune.
Des lenteurs qui font perdre à la municipalité beaucoup de temps et surtout d’argent. «La manière de prendre ce genre de décisions et de les concrétiser manque de réflexion profonde, d’analyse et de rigueur de la part des services de la commune, qui devaient être les plus proches du citoyen. A ce jour, une étude sur l’état de la gare routière ouest n’a pas été établie. Qu’attendent encore ces responsables pour agir ?», a regretté notre interlocuteur.
Ce dernier a rappelé que les travaux de la gare routière est ont été achevés depuis des mois, mais aucune initiative n’a été prise, ni par les élus ni aucune autre autorité pour réfléchir sur le budget et l’entreprise qui sera chargée de sa gestion. Toutes les déclarations, selon ses dires, demeurent de simples propositions soumises à la direction des transports pour que Sogral se charge des travaux de l’aménagement, voire de la gestion. «Rien de palpable n’a été présenté sur la table. Ce projet de réhabilitation subira le même sort que celui de la gare Sahraoui Tahar ou peut-être pire. Etant donné que rien ne presse», a-t-il affirmé.
Des lenteurs qui font perdre à la municipalité beaucoup de temps et surtout d’argent. «La manière de prendre ce genre de décisions et de les concrétiser manque de réflexion profonde, d’analyse et de rigueur de la part des services de la commune, qui devaient être les plus proches du citoyen. A ce jour, une étude sur l’état de la gare routière ouest n’a pas été établie. Qu’attendent encore ces responsables pour agir ?», a regretté notre interlocuteur.
Ce dernier a rappelé que les travaux de la gare routière est ont été achevés depuis des mois, mais aucune initiative n’a été prise, ni par les élus ni aucune autre autorité pour réfléchir sur le budget et l’entreprise qui sera chargée de sa gestion. Toutes les déclarations, selon ses dires, demeurent de simples propositions soumises à la direction des transports pour que Sogral se charge des travaux de l’aménagement, voire de la gestion. «Rien de palpable n’a été présenté sur la table. Ce projet de réhabilitation subira le même sort que celui de la gare Sahraoui Tahar ou peut-être pire. Etant donné que rien ne presse», a-t-il affirmé.
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