mardi 27 juin 2017

Sétif ⵣⴹⵉⴼ
(ar) سطيف
Vue aérienne
Vue aérienne
Noms
Nom arabe سطيف
Nom berbère ⵣⴹⵉⴼ / Zdif
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
Région Hauts Plateaux
Wilaya Sétif
(chef-lieu)
Daïra Sétif
(chef-lieu)
Code postal 19000
Code ONS 1901
Démographie
Gentilé Sétifien, Sétifienne
Population 288 461 hab. (20081)
Densité 2 266 hab./km2
Géographie
Coordonnées 36° 09′ 00″ nord, 5° 26′ 00″ est
Altitude 1 100 m (min. : 1 100 m) (max. : 1 100 m)
Superficie 127,30 km2
Localisation
Localisation de la commune dans la wilaya de Sétif.
Localisation de la commune dans la wilaya de Sétif.
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Voir la carte topographique d'Algérie
City locator 14.svg
Sétif ⵣⴹⵉⴼ
Sétif (du berbère : ⵣⴹⵉⴼ (Zṭif) « les terres noires »2, en arabe : سطيف (Sṭif)) est une ville algérienne et le chef-lieu de la wilaya de Sétif. Située à 300 kilomètres à l'est d'Alger, à 65 km de Bordj Bou Arreridj et à 132 km de Constantine, dans la région des Hauts-Plateaux au sud de la Petite Kabylie , la ville se situe à 1 100 mètres d'altitude.
La ville est parfois considérée comme le point de départ des manifestations du , signe avant-coureur de la guerre d'Algérie3.

Sommaire


Toponyme

Sétif a été Numide avant de subir la domination romaine. Le nom de Sétif n'est pas tiré du Latin, mais c'est un mot berbère Zdif2 qui signifie "terres noires" allusion faite à la fertilité de ses terres. Occupant une position stratégique (Porte d'entrée Ouest des hauts Plateaux Constantinois) et un point d'eau important grâce à ses nappes phréatiques, située au pied des montagnes au seuil d'une plaine immense, Sétif avec tous ses avantages était un point de passage stratégique entre la partie orientale et la partie occidentale de l'Algérie. Sétif faisait partie du royaume des messasyliens et en l'an 225 avant J.C elle était la capitale d'un royaume berbère, titre qu'elle perdit lorsque Juba lui préféra Cherchel. C'est près de Sétif que Jugurtha livra une grande bataille à marius.

Géographie

Situation

La ville se situe à 300 km à l'est d'Alger, 65 km de Bordj Bou Arreridj et à 123 km de Constantine. Elle est située à 1 100 m d'altitude dans les plateaux du sud de la région. La ville est peuplée de 288 461 habitants, ce qui la classe 8e en Algérie. Cependant, la wilaya est la seconde national en matière de population après Alger.
La ville est construite sur les plateaux algériens et se compose de steppes arides, le climat est de type continental.

Transports

Lieux-dits, quartiers et hameaux

La ville est constituée de plusieurs quartiers dont :
  • Aïn Bouaroua
  • Aïn Droudj
  • Aïn Mousse
  • Aïn Sfiha
  • Aïn Trig
  • Avenue 1er Novembre (Rue de Constantine)
  • Avenue 8 Mai 1945
  • Avenue de l'ALN (Trig El Wilaya)
  • Avenue Ibn Sina (Habtet Sbitar)
  • Avenue Zaâbat Ramdhane (Soug Lasser)
  • Beaumarchais
  • Cité 1er novembre (Dallas)
  • Cité 150 logements (Tlayna)
  • Cité 20 Août 1955 (Cité 1000 logements)
  • Cité 5 Fusillés (Ledjnène)
  • Cité 8 Mai 1945 (Cité 600 logements)
  • Cité Ain Tbinet
  • Cité de l'Avenir (Birgey)
  • Cité Bel Air
  • Cité Belle Vue (CRS)
  • Cité Ben Beguegue Mohamed
  • Cité Bizar
  • Cité Boussekine
  • Cité le Caire (La Pinède)
  • Cité Chouf Lekdad
  • Cité El Hassi
  • Cité El Hidhab
  • Cité El Maâbouda
  • Cité Gaoua
  • Cité Gasria
  • Cité Hachemi (Hechama)
  • Cité Laârarssa
  • Cité Kaâboub
  • Cité Maïza Noureddine (Cité 500 logements)
  • Cité Ouled Braham
  • Cité Ruisseau d'Or
  • Cité SNTR
  • Cité Yahyaoui (Tandja)
  • El Bez
  • Fermatou
  • Kaaboub
  • Lebrarma
  • Ledjnène
  • Les 150, 200, 300, 400, 500, 600, 750, 1000, 1006 et 1014 logements
  • Les Cheminots
  • Les Tours
  • Quartier de la Gare (Langare)
  • Rue de Sillegue
  • Rue Vallet

Urbanisme

Le centre ville est, comme dans beaucoup de villes algériennes, de style haussmannien : composé de grands boulevards et d'immeubles de l'époque de la colonisation française.

Étymologie

Le nom de la ville est d'origine berbère. Sa signification fait référence à la couleur des champs labouré5. Elle viendrait du latin Sitifis ou Sitiansium qui veut dire « terres noires ».

Démographie

La ville compte 288 467 habitants ce qui la classe huitième nationale. La ville est le chef lieu de la seconde wilaya la plus peuplée d'Algérie.

Histoire

Époque numide

La ville est à l'origine numide et faisait partie du royaume des Messasyliens en l'an -225. Elle était également considérée comme capitale avant que Juba II lui ait préféré Cherchell. Jugurtha y livra une bataille à Caius Marius.

Époque romaine

Durant la période de l'Empire romain la région s'appelait « Tamanouna ».[réf. nécessaire]
Elle est une partie intégrante de la province romaine de la Maurétanie Césarienne devenue la Maurétanie Sitifienne.
Jugurtha livré, Sitifis releva du royaume de Maurétanie, attribué successivement à Bocchus puis Boccuris, Juba II et enfin à Ptolémée de Maurétanie, assassiné à Lugdunum à l'instigation de Caligula.
Par sa situation stratégique, Sitifis intéressa Nerva qui y installa dès 96 une colonie de vétérans, la Colonia Nerviana Augusta Martialis Veteranorum Sitifensium. Claude réduisit la Maurétanie en province romaine, la divisa en deux, et rattacha Sétif à la nouvelle Maurétanie césarienne, capitale Césarée/Cherchell. En 290, Sétif devient capitale de la Maurétanie sitifienne (actuelle Algérie orientale), détachée de la Maurétanie Césarienne. La nouvelle province relève alors du diocèse d'Afrique, relevant lui-même de la préfecture d'Italie.
La région de Sétif est un des greniers à blé de la Rome antique : Caput Saltus Horreorum (aujourd'hui Aïn-Zada) en est le siège6.
On possède une lettre d'Augustin à Novat, évêque de Sétif.
Préludant à la chute de l'Empire romain d'Occident en 476, un peuple germanique, les Vandales, menés par leur roi Genséric, (427 - janv. 477), passèrent d'Espagne en Afrique, en l'an 429, à la demande du gouverneur romain, le comte Boniface, révolté contre l'empereur Valentinien. L'itinéraire des Vandales en Afrique, de Tingi (Tanger) vers Carthage, passa par Sitifis atteinte probablement dès 430. Boniface vaincu, Genséric établit le siège de son royaume à Carthage en 439, forçant l'empereur à le reconnaître maître de l'Afrique « romaine ».
La ville conserve des vestiges des IIIe siècle et IVe siècle : remparts, temple, cirque, mausolée dit « de Scipion »...
Le produit des fouilles archéologiques est conservé et exposé au Musée Archéologique de la ville, et diverses stèles dans le jardin Abd el-Kader. Il est à mettre en relation avec le site de Cuicul / Djemila.

Époque byzantine

En 531, le roi des Vandales, Hildéric, fut renversé par l'usurpateur Gélimer, donnant à l’empereur romain d’Orient Justinien, anxieux de restaurer l’Empire romain, un prétexte d'intervention. Parti de Byzance (Constantinople/Istanbul), son général Bélisaire profita de soulèvements en Tripolitaine et du concours des Maures, qui lui permirent de prendre Carthage (533) puis Gélimer lui-même (534). Les Byzantins trouvèrent à Sitifis, une population réduite, du fait des prédations vandales. En 539, Sitifis redevint capitale d'une province « romaine » byzantine : la Mauritanie Première. À cette époque, Solomon édifia l'enceinte de la forteresse byzantine, dont les murs Ouest et Sud sont encore visibles.

Époque musulmane

La ville a été dirigée par différentes dynasties islamiques : Omeyyades, Abbassides, Aghlabides, Fatimides, Zirides, Almohades, Hafsides, Ottomans.
Amers Ghrabas
Selon al-Yaqubi dans le kitab al-Buldan, repris par AA.Duri une fraction des arabes Banu Assad ibn Khuzaima du nom de Banu Usluja originaires d'Irak se sont installés à Setif à l'époque des Aghlabides7 avec des non-arabes (persans abna) du Khorasan8
Sétif selon le géographe et historien Al-Bakri :
« La ville de Sétif est à deux journées d’El-Mecila (...) on arrive à Sétif, ville grande et importante, dont l’origine remonte aux temps antiques.' La muraille qui l’entourait fut détruite par les Ketama, partisans d’Abou Abd’Allah ash-Shi’i , et cela pour la raison que les Arabes leur avaient enlevé cette ville et les avaient obligés à payer la dime chaque fois qu’ils voulaient y enter. Elle est maintenant sans murs; mais elle n’en est pas moins bien peuplée et très florissante.' Les bazars sont en grand nombre, et toutes les denrées sont en grand nombre, Sétif est a dix journées de Kairouan, à dix journées de Gazrouna et à une journée de Tanaguelalt situé dans le voisinage de Mila. »9
Selon Ibn al-Athir ce fut à Sétif qui se déroula "la bataille de Sétif" entre les Arabes hilaliens et les Berbères almohades, qui ce solda par la victoire des Almohades. le 27 avril 115310
Des vestiges de cette époque arabo-musulmane furent exhumés au début des années 1980 et ils ont démontré des niveaux d’époque "arabe". Selon Khelifa Abderrahmane dans « L’urbanisation dans l’Algérie médiévale », les résultats de ces fouilles furent très intéressants et furent exprimés en ces termes : « La ville n’était pas totalement abandonnée et les vestiges des thermes servaient d’abri occasionnel aux hommes et au bétail. Le développement de la ville musulmane se serait fait d’abord au nord de la forteresse byzantine.»
Cette fouille a démontré que les premières maisons (musulmanes) avaient été construites avec des réemplois de pierres de taille renforcées sur leur face intérieure de cailloux liés à du pisé.
Les dates données par le carbone 14 varient entre 655 et 970 ap. J.-C.
La fouille avait mis au jour neuf bâtiments qui ont été datés entre l'an 810 ( au temps des Aghlabides) et 974 (du califat des fatimides).
Une monnaie du calife fatimide ’Al Mu’izz avec un tesson de céramique figuré ont été trouvés dans le troisième sol.
Mais l’important est selon Khelifa Abderahmane que la fouille a pu dégager une typologie de l’habitat des Xe et XIe siècles pour cette région, avec des pièces plus longues que larges 11

Époque coloniale

En 1838, la ville est prise par une colonne dans le cadre des opérations visant Constantine.
L'occupation est d'abord militaire mais très vite les civils affluent (ouvriers). Un premier plan urbain est mis au point par arrêté de 1843. Formation d'une petite ville européenne en 1846 mais difficulté d'installation. L'année suivante, le 11 février 1847, une ville européenne est créée par ordonnance royale avec une dotation de 2 509 ha de terre. Dès 1850 une colonisation agricole commence à apparaitre.
La colonisation se développe notamment sous le Second Empire, et provoque le développement de l'actuel centre-ville.
La construction de la gare de Sétif, sur la ligne Alger-Constantine, aurait été décidée par le conseil communal en 1877.
1926 marque une première ouverture de logements sociaux aux Algériens de Sétif.

Massacres de Sétif (1945)

Sétif est le point de départ le 8 mai 1945 d'une série d'émeutes nationalistes réprimées dans le sang par les autorités coloniales françaises. Les manifestations et l'explosion de violence qui les accompagnent ont pour origine un projet d'insurrection nationaliste dont le but est de créer une "zone libérée" avec un gouvernement provisoire à la tête duquel se serait trouvé Messali Hadj. Mais ces plans doivent être abandonnés après l'évasion ratée de résidence surveillée de celui-ci et son transfert à Brazzaville. L'émeute de Sétif souvent présentée comme la conséquence de la colère populaire provoquée par la mort du porte drapeau Bouzid Saâl est en fait « une véritable insurrection armée qui a fait 23 morts et 80 blessés européens »12
La nouvelle de l'émeute gagne rapidement la région. La manifestation d'indépendantistes à Sétif tourne à l’insurrection violente. La révolte gagne les villes voisines. La répression qui s’ensuit est démesurée et d'une brutalité extrême, faisant des milliers de morts parmi les manifestants. Cette répression est le fait de l'armée et des milices civiles. 3 700 hommes sont déployés dans la subdivision de Sétif (équivalente à deux départements français)12.
C’est le gouverneur Chataigneau qui décrète l’état de siège. Il donne les pleins pouvoirs au général Henri Martin, patron de l’armée en Afrique du Nord pour « rétablir l’ordre d’urgence ».
La France annonce alors 103 morts européens et 110 blessés (84 tués dont 13 femmes pour la 1re journée d'émeute à Sétif et ses environs)13 ; entre 600 et 1 500 Algériens tués ou blessés. 400 tués et 250 blessés par l'armée de terre, 200 morts par l'aviation, une dizaine de morts par la marine mais il faut ajouter 2 000 à 3 000 morts musulmans victimes de la réaction des civils qui dès le début des émeutes s'organisent en milices d'autodéfense13.
Officiellement, le gouvernement algérien parle aujourd’hui de 45 000 victimes, chiffre avancé dès l'été 1945 par le Parti du peuple algérien (PPA)14. En 2015, les historiens François Cochet, Maurice Faivre, Guy Pervillé et Roger Vétillard, faisant le point sur les recherches récentes d'une dizaine d'historiens, rappellent des évaluations entre 3 000 et 8 000 morts12.

Administration et politique

Jumelages

Transports

Deux lignes de tramway sont en cours de construction15.
L'Aéroport de Sétif - 8 Mai 1945 est situé dans la ville de Aïn Arnat, à l'ouest de Sétif.

Économie

La région de Sétif connait un dynamisme certain en Algérie, la région bénéficie d'importants projets investissement ( aéroport, gare routière, tramway). L'industrie est principalement représentée par les secteurs plastique, électroménager, chimique.
Au niveau agricole, c'est une des principales régions céréalières du pays.
Sétif est également un centre commercial dominant dans la région. Elle possède le second mall du Maghreb. En décembre 2015 le premier ministre, Abdelmalek Sellal, a inauguré plusieurs projets dans la wilaya de Sétif :
- trois unités industrielles implantées dans la zone industrielle .
- une unité de fabrication de câbles électriques .
- un complexe de production de carreaux en céramique émaillée16.

Sports

La ville de Sétif dispose d'une équipe de football, l'Entente sportive de Sétif qui a gagné 8 coupes d’Algérie, 7 championnats dont 2 doublés , 2 coupes arabes des clubs champions , 2 coupes d’Afrique des clubs champions en 1988 et 2014 une coupe Afro-Asiatique en 1989 ,une super coupe d'Afrique et une super coupe d'Algérie en 2015.
Le Nouveau Stade Olympique couvert de 50 000 places a été approuvé par le gouvernement et sera lancé en janvier 2015 pour une durée 36 mois.
Elle dispose aussi d'une autre équipe de football (USMS). Elle a été finaliste en coupe d'Algérie en 2005.
La nouvelle piscine olympique d’El Bez a été inaugurée en 201417.
Sétif est le lieu de deux compétitions cyclistes internationales :
  • le critérium international de Sétif : les cyclistes courent sur un circuit fermé de 40 tours totalisant 128 kilomètres. Le départ est devant le siège de la wilaya de Sétif, avenue du 1er novembre.
  • le tour international de Sétif : les cyclistes courent dans la wilaya de Sétif en trois étapes pour un parcours totalisant au total 346 kilomètres.

Loisirs

Le Park Mall de Setif est ouvert depuis mars 2016
Le parc d'attraction de Sétif constitue un point de loisirs et de tourisme en plein cœur de la ville.

Patrimoine

La ville recèle un patrimoine archéologique qui a poussé les services de l'Unesco à conseiller l'aménagement d'un parc archéologique à visées touristique et culturelle. Néanmoins, celui-ci n'est toujours pas inscrit à ce jour à la liste du patrimoine mondial. L'un des monuments emblématiques de la ville est l'ancienne mosquée (El Masdjid el Atik) ainsi que la fontaine d'Ain El Fouara.
Le chant Sraoui en est originaire.

Personnalités liées

  • Henry Dunant (1828-1910), fondateur de la Croix-Rouge, a tenté sans succès d'y faire des affaires
  • Ferhat Abbas (1899-1985), premier président la République algérienne, y a vécu
  • Bouzid Saâl (1919-1945), nationaliste algérien et première victime des massacres de Sétif et Guelma le 8 mai 1945, y a vécu
  • Kateb Yacine (1929-1989), écrivain, y a vécu
  • Kamel Bencheikh (1953-), écrivain, y est né
  • Rachid Bey (1946-2011), écrivain, y est né .

Sources, notes et références

  1. « Wilaya de Sétif : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion » [archive]. Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
  2. a et b « Aperçu historique sur la région de Sétif » [archive], sur www.setif.com (consulté le 27 novembre 2015)
  3. Mohammed Harbi, « La guerre d'Algérie a commencé à Sétif », Le Monde diplomatique, mai 2005, p. 21 [archive]
  4. Kebiche Abdelhakim, « Tramway de Sétif : Un rêve en rail pourra se réaliser » [archive], sur Setif.info, (consulté le 25 juillet 2015)
  5. Mohand-Akli Haddadou, Dictionnaire toponymique et historique de l'Algérie, Tizi Ouzou, Éditions Achab, (ISBN 9789947972250), p. 463.
  6. Corpus inscriptionum latinarum : inscriptionum mauretaniae latinarum p. 1919 par Th. Mommsen, J. Schmidt, R. Cagnat, H. Dessau, [1] [archive]
  7. Al-Yaqubi, Kitāb al-Buldān
  8. (en) A. A. Duri, The Historical Formation of the Arab Nation (RLE: The Arab Nation), Routledge, (ISBN 9781136251788, lire en ligne [archive])
  9. Al-Bakri (1014- 1094) op cit. p. 178
  10. « IBN-ALATHYR : EXTRAITS DE L'Histoire des croisades » [archive], sur remacle.org (consulté le 3 octobre 2015)
  11. « L'urbanisation dans l'Algérie médiévale - persee.fr » [archive], sur www.persee.fr (consulté le 3 octobre 2015)
  12. a, b et c François Cochet, Maurice Faivre, Guy Pervillé et Roger Vétillard, « Mai 1945, l'émeute de Sétif », Nouvelle Revue d'Histoire, no 79 de juillet - août 2015, p. 32
  13. a et b La voix du combattant, page 8
  14. Les Français d'Algérie : vie, mœurs, mentalité de la conquête des Territoires du Sud à l'indépendance. Pierre Mannoni. L'Harmattan, 1993, ISBN 2-7384-1377-3, p. 272-273
  15. http://www.setif.info/article7755.html [archive]
  16. « Algérie Presse Service - Sellal inaugure trois unités industrielles à Sétif » [archive], sur www.aps.dz (consulté le 27 décembre 2015)
  17. [2] [archive]

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Nacéra Benseddik, Nouvelles inscriptions de Sétif, BAA VII, 1977-79, p. 33–52
  • Nacéra Benseddik, Sétif, Dictionnaire du Monde antique, éd. PUF, Paris, 2005
  • Nacéra Benseddik et C. Lochin, Saturne et ses fidèles : à propos de stèles de Cuicul, Mopth. et Sitifis, colloque international sur l'Algérie antique : permanences, relations, représentations, identités et culture dans l'Algérie antique, Rouen, avril 2003 [2005], p. 261-292
  • Boucif Mekhaled, Chronique d'un massacre : 8 mai 1945, Sétif-Guelma-Kherrata, éd. Syros, Paris, 1995
  • Jean Louis Planche, Sétif 1945. Histoire d'un massacre annoncé, éd. Perrin, 2006
  • Roger Vétillard, Sétif, . Massacres en Algérie, éd. de Paris, 2008
  • Eugène Vallet, Un drame algérien. La vérité sur les émeutes de mai 1945, éd. Grandes éditions françaises, 1948
  • Radouane Ainad Tabet, Le en Algérie, Office des Publications Universitaires (OPU), Alger, 1985
  • Denise Morel, Sétif de ma jeunesse, éd. Gandini, 2001
  • Virginie Galbarini, Le Triomphe indien de Dionysos : étude descriptive et iconographique d’une mosaïque de Sétif, Bulletin annuel de l’ASAC-SAKA, 2005
  • Abdelkader Benarab, La Bataille de Sétif, éd. L'Harmattan, 2011
  • Abed Abidat, "8 mai 1945, tragédie dans le Constantinois - Sétif, Guelma, Kherrata..." , éd. Images Plurielles, 2010

Articles connexes

Liens externes


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