mardi 11 juillet 2017

(3) Le véritable bonheur
et la paix intérieure

Le véritable bonheur et la paix intérieure découlent denotre soumission aux commandements du Créateur et Seigneur de  ce monde.  Dieu a dit, dans le Coran:
 N'est-ce point par l'évocation de Dieu que se tranquillisent les coeurs?  (Coran, 13:28)
Par contre, celui qui se détourne du Coran aura une vie éprouvante ici-bas.  Dieu a dit:
 Et quiconque se détourne du Coran1mènera, certes, une vie pleine de gêne, et le Jour de la Résurrection, Nous l'amènerons aveugle au rassemblement.  (Coran, 20:124)
Cela peut expliquer pourquoi certaines personnes se suicident alors qu'elles jouissent du confort matériel que peut acheter l'argent.  Par exemple, Cat Stevens (qui s'appelle maintenant Yousouf Islam) était un chanteur très populaire qui gagnait parfois jusqu'à 150 000$ par soir.  Après sa conversion à l'islam, il a trouvé le véritable bonheur et la paix intérieure qu'il n'avait pu trouver dans la réussite matérielle.2     

Le père qui se radicalise perd son droit de visite

REUTERS/Alaa Al-Faqir/ Deraa
Wendy G., 23 ans, et Zayd T., 24 ans, ont un enfant, Ilyes, le 3 novembre 2014, puis se séparent, et Wendy s’occupe seule de l’enfant. Zayd le reconnaît le 12 janvier 2016. Le 13 janvier, il saisit le juge aux affaires familiales du tribunal de grande instance de Versailles, afin qu’il l’autorise à exercer l’autorité parentale sur l’enfant. Le juge s’y oppose, le 17 juin 2016.

Il fixe la résidence de l’enfant au domicile de sa mère. Mais il accorde au père le droit de recevoir Ilyes le premier samedi du mois, de 10 heures à 17 heures, à charge pour la mère ou un tiers désigné par elle de conduire celui-ci et de venir le rechercher.
Le juge prononce en outre l’interdiction du sortie du territoire de l’enfant sans l’accord des deux parents. Il fixe à 150 euros par mois la contribution que doit verser le père, à l’entretien et à l’éducation d’Ilyes.
Wendy fait aussitôt appel. Elle s’oppose à tout droit de visite et d’hébergement du père, au motif qu’il s’est radicalisé et qu’il veut emmener l’enfant en Syrie.
La cour d’appel de Versailles, qui statue le 20 avril (16/05383), rappelle que, aux termes de l’article 373-2 du code civil, en cas de séparation des parents, « chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ». Aux termes de l’article  373-2-1, « l’exercice du droit de visite et d’hébergement ne peut être refusé à l’autre parent que pour des motifs graves ». Or la radicalisation religieuse du père constitue un motif grave, susceptible de constituer un danger pour l’enfant.
La cour d’appel admet qu’il existe des « indices » de cette radicalisation : d’une part, Zayd a déclaré à la mère de Wendy qu’il a l’intention de quitter la France; d’autre part, il est mêlé à une mouvance islamiste radicale, et plusieurs membres de sa famille sont partis en Syrie afin d’y mener le Djihad, ou ont tenté de le faire.
Wendy verse aux débats un message téléphonique de Zayd, dans lequel celui-ci a indiqué « abandonner l’enfant à sa mère » car « Allah sait mieux, c’est la décision d’Allah, c’est mon épreuve ».
La cour estime que, « sous couvert de soumission à une volonté divine supérieure », et tout en présentant cela comme une « épreuve », Zayd s’est « soustrait de façon commode à toutes ses obligations paternelles, préférant laisser la mère de l’enfant supporter seule la charge de son éducation et de son entretien ».
Elle juge que le comportement du père justifie la suppression de tout droit de visite et d’hébergement sur l’enfant.


La mort d’Ali Mérad, spécialiste de l’islam contemporain

L’islamologue est décédé le 23 mai à Lyon, où il a enseigné à partir de 1962. Il a multiplié les propositions afin de mieux organiser l’islam en France et le préserver de l’intégrisme.
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Avec l’islamologue Ali Mérad, mort le 23 mai à Lyon à l’âge de 87 ans, disparaît un grand spécialiste de l’islam contemporain. Né en 1930, à Laghouat, dans le Sud algérien, Ali Mérad a fréquenté l’école coranique en même temps que l’école française. Il a fait ses études secondaires au lycée Bugeaud d’Alger, dont il a été un brillant élève.
Encore étudiant à l’université d’Alger, il participe au dialogue islamo-chrétien avec comme interlocuteurs les pères blancs Maurice Borrmans, futur directeur de l’Institut pontifical d’études arabes et d’islamologie de Rome, et Michel Lelong, qui créera le Secrétariat pour les relations avec l’islam.
En 1956, Ali Mérad est reçu premier à l’agrégation d’arabe. Il est affecté au lycée franco-musulman de Ben-Aknoun, avant de devenir assistant à l’université d’Alger. En 1962, il est à l’université de Lyon, où il deviendra professeur, puis directeur de l’institut des études arabes et islamiques. Il soutiendra sa thèse sur le « réformisme musulman en Algérie de 1925 à 1940 », en 1967, à la Sorbonne.
Préoccupé par la représentation des musulmans français En 1990, il recommande une politique éducative de prévention de l’intégrisme, « une lame de fond qui finira par gagner la France ».
En 1977, il fait partie de la Commission nationale des Français musulmans, créée sous le gouvernement Barre. C’est sur recommandation de cette commission que Valéry Giscard d’Estaing approuve l’envoi à La Mecque, en 1980, d’une délégation de pèlerins français conduite par l’islamologue Madjid Turki, qui fait flotter le drapeau tricolore sur le mont Arafat.
Ali Mérad propose alors de réanimer l’Institut musulman pour le séparer de la Mosquée de Paris. Mais, en 1981, la gauche au pouvoir ignore ce projet et se contente d’une gestion multiétatique et sécuritaire de l’islam en France.
En 1989, après l’affaire Rushdie, il est sollicité par l’Elysée, à qui il remet un rapport proposant l’ouverture d’un institut d’études musulmanes...

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2017/06/26/la-mort-d-ali-merad-specialiste-de-l-islam-contemporain_5151289_3382.html#5QuiSLLqm3to3ZBI.99

Ouvrir l’islam contemporain pour lutter contre le djihadisme

Pour opposer un contre-discours religieux à l’organisation Etat islamique, une lecture critique de la tradition coranique est nécessaire, affirme le sociologue Omero Marongiu-Perria.
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Des musulmans indonésiens prient à l’occasion de la fin du ramadan, à Surabaya, sur l’île de Java, dimanche 25 juin.
Des musulmans indonésiens prient à l’occasion de la fin du ramadan, à Surabaya, sur l’île de Java, dimanche 25 juin. JUNI KRISWANTO / AFP
L’élan djihadiste né de la crise syrienne a ouvert un débat sur ses causes et ses implications pour l’islam. Certains ­récusent la dimension religieuse du phénomène au profit d’explications (géo) politiques ou sociales ­tandis que d’autres exhortent les communautés musulmanes à faire davantage pour lutter contre le djihadisme. Dans un livre incisif et engagé (Rouvrir les portes de l’islam, Atlande, 150 pages, 15 euros), le sociologue Omero Marongiu-Perria affirme que ­l’islam contemporain ne pourra répondre à ce défi qu’en sortant des conceptions religieuses forgées au Moyen Age qu’il a en partage avec les fondamentalistes. Sa parole porte d’autant plus que, musulman lui-même, et passé naguère par la mouvance des Frères musulmans, il travaille de longue date au sein d’une communauté dont il est l’un des meilleurs connaisseurs et l’un des acteurs.
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Pour un intérieur propre et rangé
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Vous défendez l’idée que les autorités et les prescripteurs de l’islam ne sont pas en mesure d’opposer un contre-discours religieux à Daech (acronyme arabe de l’organisation Etat islamique) car ils partagent une même ­orthodoxie, une même vision du monde et de l’islam. En quoi consiste-t-elle ?
J’ai résumé cette vision du monde par une expression : le « paradigme hégémonique ». Cette notion contient cinq éléments : la vision d’un dieu dominateur sur le monde qui est essentiellement préoccupé par le comptage des actions humaines ; le rapport de soumission à ce dieu qui se traduit par un système de contrainte sur le musulman parfois très violent ; la nécessité de dominer les non-musulmans et le ­fameux statut de dhimmi ou « protégé » de l’Etat musulman ; le rapport de domination sur la femme ; enfin, le contrôle strict de la vie privée et publique par un système de contrainte assez élaboré. Ces cinq éléments du paradigme hégémonique forment, ­selon moi, un système cohérent qui continue à structurer la façon dont les leaders religieux musulmans pensent la « société musulmane...

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/07/01/ouvrir-l-islam_5154312_3232.html#O1RPLkD5OyuCAyjs.99


A Lorette, dans la Loire, un maire en guerre contre le port du voile

L’arrêté interdisant foulard et burkini dans la nouvelle zone de baignade municipale crée un tollé.
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A Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes), en 2016.
Le maire de Lorette (Loire) semble décidé à donner une deuxième saison à la polémique sur le burkini, qui avait agité une bonne partie de l’été 2016. Dans cette commune ouvrière de 4 700 habitants, l’édile impose ses opinions à tout bout de champ. Son obsession ? Ses administrés de confession musulmane.
L’été dernier, sur les panneaux lumineux de la ville, Gérard Tardy, 79 ans, dont vingt-huit à régner sur la ville, avait fait inscrire deux messages : « Le ramadan doit se vivre sans bruit » et « La République se vit à visage découvert ». Dans la foulée, il avait tenté d’interdire l’accès à la kermesse de fin d’année de l’école maternelle publique aux mères voilées (les parents d’élèves s’y sont opposés).
En 2017, le maire, qui n’a pas souhaité répondre à nos questions, a franchi une nouvelle étape : à l’entrée du bassin naturel communal des Blondières, un espace de baignade municipal inauguré le 23 juin, il a fait placarder un pictogramme représentant le visage d’une femme portant le voile, barré d’un trait rouge. L’article 4 de l’arrêté établissant le règlement intérieur stipule que, dans l’eau, seuls sont autorisés « slip ou boxer pour les hommes, une pièce ou 2 pièces pour les femmes (…). Sur la plage sont interdits monokini, burkini, voile dissimulant partiellement ou totalement le visage, combinaison ». Tout contrevenant(e) s’expose à une « expulsion immédiate (…) par le personnel de surveillance, de sécurité, ou au besoin par la force publique ».
Supprimer la « fragilité juridique »
Les réactions scandalisées n’ont pas tardé, largement relayées sur les réseaux sociaux. Quatre associations antiracistes – la Maison des potes, la Ligue des droits de l’homme (LDH), le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et l’Association d’aide aux démarches administratives, sociales et de lutte contre les discriminations (ADASLCD) – ont saisi le tribunal administratif de Lyon.
Face au...

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Robert de Chester

Robert de Chester (Robert of Ketton, Robertus Rettinensis) est un érudit anglais du xiie siècle (actif entre 1140 et 1150).

La traduction du Coran[modifier | modifier le code]

Avec son travail de Traductions du Coran, Robert de Chester est peut-être l'auteur de la première version latine du Coran en 1143, si lui et l'Anglais Robert de Ketton ne sont qu'une seule et même personne. Il étudia la langue et les sciences des Arabes en Espagne. Il s'intéressa aux mathématiques, à l'astronomie, et à l'Alchimie.
Il est, avec Gérard de Crémone, le premier à avoir traduit en latin les traités d'algèbre du grand mathématicien et astronome perse al-Khuwārizmī, en 1145.

L'alchimie[modifier | modifier le code]

Robert de Chester fut le premier à traduire un texte d'alchimie de l'arabe en latin. On lui attribue la traduction du Liber Morieni en 1144. Le livre s'intitule Liber de compositione alchimiae quam edidit Morienus Romanus Calid regi Aegyptiorum quem Robertus Castrensis de arabico in latinum transtulit (in Bibliotheca chimica curiosa, t. I, p. 509) : "Livre de la composition d'alchimie". L'ouvrage a été édité et traduit en anglais par Stavenhagen1 en 1974. Il se présente comme un dialogue entre Khâlid et Morienus. Ce dernier, Morien, est un moine chrétien égyptien qui instruit, quant aux textes alchimiques grecs ou coptes, Khâlid ibn Yazîd (Calid filius Yazichi), jeune prince de la dynastie des Omeyyades évincé en 685 du trône de calife, mort en 704.
La date (11 février 1144), signe la naissance de l'alchimie européenne latine. C'est dans ce texte qu'apparaît un mot nouveau en latin alchemia, dérivé phonétique de l'arabe al-kîmiyâ (emprunté lui-même au grec médiéval χημεια khêmeia). Il précise dans la préface que ce mot désigne non pas un nouveau domaine mais la Pierre des Philosophes :
« Et puisque vous, les Latins, ne savez pas encore ce qu'est l'alchimie et quelle est sa composition (Et quoniam quid sit alchymia et quae sit sua compositio nondum vestra cognovit latinitas), je vais vous l'expliquer dans le présent discours. j'ai utilisé ce mot, bien qu'il soit inconnu et étonnant, afin que sa signification soit éclaircie par sa définition (...). L'alchimie est une substance corporelle, composée d'une chose unique ou due à une chose unique, rendue plus précieuse par la conjonction de la proximité et de l'effet - union naturelle qui détermine naturellement une efficacité supérieure. »

La mappemonde[modifier | modifier le code]

Jean-Daniel Baltassat dans son livre : « Le Valet de Peinture », consacré au peintre Johannes Van Eyck, écrit ceci (pages 69 et 70) à propos de la Mappa Mundi2 : « Les difficultés techniques, les erreurs dues aux calculs faux d’Ambrogio Lorentti, les corrections accomplies grâce à ceux de Robert de Chester, lesquels permettent, avec le temps, d’élaborer des tables astronomiques en fonction du méridien de Londres. Sans compter le calcul de l’emplacement des nations, fleuves, routes, ports, montagnes et des cités selon les relevés du géographe Edrisi qui, il y a trois cents ans de cela, a collecté des repères jusqu’en Chine et dans le grand Sud du monde. (...) En appliquant les règles du traité de maître Robert sur l’astrolabe. Il y donne les tables algébriques de l’Arabe Al-Khwarizmi, qui a inventé le djayb (corde d’un arc de cercle ou sinus pour le plan et double corde d’arcs d’une sphère - c’est moi qui l’ajoute) des distances équivalentes à la réalité. »
D’après le djayb, le postulat de Chester s’énoncerait ainsi :
  • pour obtenir une sphère il faut et il suffit d’une corde Nord – Sud, de son arc de cercle Nord - Sud appelé « méridien zéro ou d’origine » et de son équateur.
  • lorsque deux arcs de cercles se croisent perpendiculairement, en leur milieu, se crée un point identifiable par sa longitude Nord-Sud et par sa latitude. La mappemonde devient concevable.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Textes[modifier | modifier le code]

  • traduction en latin (1143) du Coran : édition par Théodore Bibliander, Machumetis Saracenorum principis quam Alcoran vocant, Bâle, 1550. La trad. latine du Coran occupe les p. 8-188 de la 1re partie, sous le titre : Incipit lex Saracenorum, quam Alcoran vocant, id est collectionem praeceptorum. Elle est également intitulée : Codex authenticus doctrine Machumeticae... dans la liste des textes inclus dans le vol. qui figure au verso de la page de titre. - Trad. par Robert de Retines (Robert de Chester) et Herman le Dalmate(Hermann de Carinthie), d'après la même liste des textes. En ligne sur Gallica [1] [archive] ou sur Université Lyon 2 [2] [archive]
  • traduction en latin (1144) du Livre de la composition d'alchimie, intitulé De compositione alchemiae quem edidit Morienus Romanus Calid regi Aegyptiorum : édition par Lee Stavenhagen, "The original text of the Latin Morienus", Ambix, n° 17 (1970), p. 1-12 ou A Testament of Alchemy, Hanover, University Press of New England, 1974 [3] [archive]. Traduit en français (in William Salmon, Bibliothèque des philosophes chimiques, t. II) : Entretiens du roi Calid et du philosophe Morien [4] [archive]

Études[modifier | modifier le code]

  • Jean-Daniel Baltassat, Le Valet de Peinture, Éditions Robert Laffont, Paris, 2004, Pocket2006/ Point-Seuil (à paraitre-09/2013).
  • R. Lemay, "L'authenticité de la préface de Robert de Chester à sa traduction du Morienus (1144)", Chrysopoeia, n° 4 (1990), p. 3-32.
  • Charles Burnett, "Ketton, Robert of", in Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.
  • Thomas E. Burman, "Tafsir and Translation: Traditional Arabic Quran Exegesis and the Latin Qurans of Robert of Ketton and Mark of Toledo", Speculum, vol. 73 (1998), p. 703–732.
  • Olivier Hanne, "Transferts sémantiques entre islam et chrétienté au XIIe siècle à travers la traduction du Coran de Robert de Ketton (sourates al-fātiḥa et al-baqara)", Le Moyen Âge, n°119 (2013), p. 297-338.
  • Olivier Hanne, "Le mariage coranique vu à travers l'Alcoran de Robert de Ketton", in Martin Aurell (dir.), Les Stratégies matrimoniales (IXe-XIIIe siècle), Brepols, Turnhout, 2013, p. 267-290.