vendredi 10 août 2018

Télécabine de Constantine

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Le télécabine de Constantine traverse les gorges de l'oued Rhummel pour relier la partie est de la ville au niveau de la place Tatache Belkacem (ex-rue Thiers) à la partie ouest au niveau de la cité Emir Abdelkader, en passant par le CHU Ben Badis. Ouvert en juin 2008, il comprend 33 cabines détachables de 15 places chacune, permettant de relier les deux terminaux en 8 minutes et de transporter 2 400 personnes par heure.
Le terminus vu d'une des cabines

Fiche Technique

Roue de la télécabine,à Constantine
  • Nombre de cabines : 33
  • Nombres de places par cabine : 15
  • Débit estimé : 2000 passagers par heure
  • Durée estimée de la traversée : 7 minutes
  • Vitesse : 6 m/s (22 km/h)
  • Nombre de stations : 3

Les Stations

Station de l'Hopital (station intermédiaire)

Station Tannoudji (Cité AEK, station motrice)

  • - Altitude : 707 mètres
  • - Surface totale : 2 480 m2
  • - Surface de la station : 1 680 m2
  • - Surface des aires de stationnement : 800 m2

Station CHU (station intermédiaire)

  • - Altitude : 675 mètres
  • - Surface totale : 1 820 m2

Station Place Tatache (station de renvoi)

station Tatache Belkacem
  • - Altitude : 619,29 mètres
  • - Surface totale : 1 700 m2
  • - Surface de la station : 1 400 m2
  • - Surface des aires de stationnement : 300 m2

Longueur des lignes

  • Longueur de la ligne Place Tatache – CHU : 425 mètres.
  • Longueur de la ligne CHU – Cité AEK : 1 092 mètres.
Il existe des télécabines comparables dans les villes de Tlemcen, Alger et Skikda

Projet

Deux autres lignes viendront prochainement étoffer le réseau de transport par téléphérique : la première reliera le centre ville au quartier de Sidi Mabrouk par la cité Daksi, la deuxième reliera la gare ferroviaire à la ville de la banlieue Ouest de Bekira, en passant par le CHU Ben Badis, créant ainsi une interconnexion avec la ligne 1 actuellement opérationnelle.

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes



Accusations de viols contre Tariq Ramadan : la demande d’annulation des mises en examen rejetée
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Accusations de viols contre Tariq Ramadan : la demande d’annulation des mises en examen rejetée

L’islamologue a été mis en examen et incarcéré le 2 février pour « viol » et « viol sur personne vulnérable », après les plaintes de la militante laïque Henda Ayari et d’une autre femme.
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
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Les juges d’instruction ont rejeté la demande d’annulation des mises en examen pour viols de l’intellectuel musulman Tariq Ramadan, formulée par son avocat, a annoncé vendredi 20 juillet une source proche du dossier.

Il a été mis en examen et incarcéré le 2 février pour « viol » et « viol sur personne vulnérable », après les plaintes de la militante laïque et ancienne salafiste Henda Ayari et d’une autre femme, surnommée Christelle dans les médias.
Une troisième femme l’accuse également de viols et l’islamologue a été placé sous le statut de témoin assisté dans ce volet.
Dans leur ordonnance de trois pages, les juges écrivent que les éléments matériels fournis par Christelle, qui affirme avoir été violée le 9 octobre 2009 dans un hôtel à Lyon, « se sont révélés exacts » après les investigations et que ses déclarations réitérées sont « circonstanciées et précises ».
Concernant Mme Ayari, qui a été confrontée pour la première fois à Tariq Ramadan jeudi, les magistrats soulignent qu’elle a eu des déclarations « hésitantes » quant à la date et au lieu du viol présumé mais que « les indices graves ou concordants qui ont présidé à la mise en examen de Tariq Ramadan subsistent ». Ils considèrent dès lors « prématurée » une annulation de la mise en examen, puisque des investigations sont toujours en cours.
Dans sa plainte initiale, en octobre 2017, cette plaignante affirmait avoir été violée au début du printemps 2012, dans un hôtel de l’Est parisien. Elle avait ensuite fait évoluer son récit, évoquant alors la date du 26 mai 2012 et un lieu précis : l’hôtel Crowne Plaza de la place de la République.
Mais les récentes investigations ont mis au jour qu’elle se trouvait à cette date à Rouen, au mariage de son demi-frère. Jeudi, lors de la confrontation, elle avait dit ne pas pouvoir donner une date précise pour les faits dont elle accuse l’islamologue de 55 ans.
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